Make dreams come true !
Cet article fait suite à celui-ci : Loi de l’attraction : vrai notion ou complètement bidon ?
Si vous ne l’avez pas lu, commencez par celui-ci et revenez ensuite ici, je vous explique plus en détail comment j’ai appliqué personnellement la loi de l’attraction et les effets positifs que cela a eu dans ma vie.
Je vous expliquais qu’il y a quelques années mon activité libérale ne se développait pas aussi bien que je l’aurais souhaité et que les fins de mois pouvaient être justes. Le situation était frustrante : je me retrouvais vulnérable à une panne de voiture par nature imprévue, à un remplacement à prévoir de mon ordinateur, bref à tous les frais qui sortaient du budget de base mensuel.
Et j’ai chaque année en été la question du financement des vacances revenait, sachant qu’en libéral, quand on ne travaille pas, il n’y a pas de salaire qui arrive sur le compte bien entendu.
Après avoir visionné le film consacré aux principes et aux effets de la Loi de l’attraction, j’ai donc décidé de tester. Je n’avais rien à perdre.
Je décide de tester la Loi de l’attraction
Mon premier objectif était facilement trouvé : doubler mes revenus.
Alors, comment ?
La seule réponse possible à cette époque était d’augmenter mon activité professionnelle. Donc faire venir de nouveaux clients à moi.
Je ne suis pas une commerciale dans l’âme, le problème n’était pas simple. Aller rencontrer des médecins pour me faire connaître n’avait préalablement donné aucun résultat satisfaisant. Inutile de recommencer dans cette même voie.
D’après les principes de la Loi de l’Attraction, il suffit de visualiser ces rentrées d’argent. Pas besoin de se focaliser sur le comment, mais uniquement sur le résultat que l’on veut obtenir : imaginer recevoir des chèques dans ma boîte aux lettres par exemple, ou visualiser le chiffre sur mon compte bancaire qui augmente.
Il suffirait de se poser quelques minutes chaque jour, le matin au réveil ou dans la salle de bains, ou le soir en se couchant de façon à créer un petit rituel, et de visualiser la situation à laquelle on aspire, se transposer par l’imaginaire dans la situation, imaginer que c’est vrai, que c’est déjà là, et ressentir le bien-être que cela apporte par anticipation.
Quand je l’ai lu j’ai trouvé cette idée assez simpliste.
Depuis quand IMAGINER recevoir des chèques dans sa boîte aux lettres produirait un effet quelconque ?
Comment un chèque arriverait-il comme par magie simplement parce que je l’ai imaginé… ?
Osons le dire en 8 lettres, la technique recommandée me paraissait tout simplement ridicule.
Mais j’ai tout de même essayé…
Après tout le risque était nul. Et cette méthode avait quelque chose de magique assez tentante.
Donc, je commence de temps en temps dans la semaine à imaginer ces chèques « tombés du ciel » dans ma boîte aux lettres, à imaginer de l’argent qui arrive sur mon compte bancaire, puis mon salaire qui double. Je me disais que réussir à atteindre un salaire de 2000 euros/mois serait pas mal du tout, je serais plus confortable, plus légère face aux factures.
Et puis, c’était aussi une question d’orgueil. J’avais réussi à faire les études qui me plaisaient, et je voulais réussir à en vivre quand même correctement compte tenu du nombre d’années d’études qu’il a fallu mener. Je n’avais pas fourni tous ces efforts des années durant pour ne pas pouvoir gagner plus que le SMIC pour ce qui me passionnait et me motivait à me lever le matin.
Je n’avais pas voulu croire qu’il fallait choisir entre un métier qui nous plaît où l’on gagne mal sa vie, et les métiers mieux payés mais que l’on fait sans passion, qui sont rébarbatifs et contraignants.
J’allais y arriver. Il y avait au fond de moi cette détermination.
Et je dois dire que le simple fait déjà de visualiser quelques secondes par semaine cet argent qui arrivait, et ce bien-être intérieur, apportait quelque chose de nouveau, une légèreté et un optimisme absolument sans fondement mais très agréable.
Je ne le faisais pas régulièrement faute d’y penser, mais quand je prenais le temps de le faire, ça me faisait du bien et ramenait de la motivation à parvenir à cet objectif.
Et en quelques mois la situation a changé radicalement et j’ai effectivement atteint et dépassé cet objectif.
Je commence à attirer à moi ce que j’imagine
Ce qui s’est passé, si je me pose la question maintenant, c’est que j’ai commencé à réfléchir à la façon de parvenir à ce but. Comment augmenter mon activité ?
Et j’ai alors fait deux choses essentielles qui ont eu des effets considérables et effectifs en quelques semaines.
Premièrement, en parallèle de mon activité de consultation au cabinet j’intervenais auprès d’équipes en supervision. J’ai donc pensé à contacter les directeurs de ces établissements, avec qui j’avais de bonnes relations, pour leur demander si certains de leurs collègues cherchaient un psychologue pour leurs propres équipes.
Ça paraît simple, mais c’était déjà une étape importante. D’abord parce que je n’y avais jamais pensé. Et d’autre part, parce que ce n’est pas naturel et spontané chez moi de solliciter les autres, en cherchant à se « vendre ». Ce n’était pas facile, il m’a fallu sortir de ma zone de confort…
Or, cela a donné des résultats au-delà de ce que j’imaginais. Car j’ai effectivement eu des retours positifs, et des entretiens qui se sont conclus par la signature de nouveaux contrats en moins de 6 mois. Et j’ai même proposé à un établissement avec lequel je travaillais depuis 2 ans de multiplier par 4 mon temps d’intervention auprès d’eux en amenant un argumentaire pour soutenir la proposition.
J’ai un petit moment de stress au moment d’envoyer mon mail, mis j’ai finalement cliqué sur « envoyer » après une grande inspiration.
La réponse a pris un peu de temps, mais au final elle a été acceptée. Et avec enthousiasme même du côté de l’équipe, qui venait de se créer et avait besoin d’une présence plus soutenue au quotidien, pour prendre du recul sur leurs pratiques et les difficultés qu’elle rencontrait.
Deuxièmement, au cours d’une semaine de vacances, j’ai décidé de créer un site internet pour présenter mon cabinet et ma façon de travailler. J’ai ouvert un compte sur une plateforme dédiée, conseillée par mon frère qui savait que l’interface était accessible aux non initiés à l’informatique. En 2010 ce n’était pas encore chose répandue. Il n’y avait pas de psychologue avec un site sur la commune où j’exerçais, et encore assez peu sur toute l’agglomération de Lyon. Depuis les choses ont bien changé.
J’ai travaillé durant 3 jours entiers pour mettre en ligne mon site. Pas très compliqué à faire de premier abord, mais il fallait quand même se plonger dans un domaine où je ne connaissais rien, il me fallait découvrir toutes les fonctionnalités et ce n’était pas toujours intuitif. Je me suis arraché les cheveux seule devant l’interface plusieurs fois…
Aujourd’hui cela paraît aussi une idée tout simple, presque banale.
Mais en 2010 c’était très nouveau et peu utilisé dans la profession. Or, en psychothérapie le contact avec le thérapeute, sa personnalité et son orientation de travail est un point essentiel du choix que l’on doit faire. On va bien travailler si l’on est à l’aise avec le thérapeute que l’on va voir, et à qui l’on se confie : si l’on se sent compris, en adéquation avec sa personnalité.
Or je m’étais déjà fait la remarque que lorsque l’on cherche un psychologue avec qui l’on veut prendre rdv, c’est difficile de choisir un nom dans les pages jaunes sans autre indication qu’éventuellement sa spécialité. L’idée du site était d’avoir une idée plus précise du thérapeute et de sa façon de travailler.
D’ailleurs aujourd’hui encore de nombreux patients qui me contactent disent avoir trouvé sur le site des passages qui leur ont parlé, dans lesquels ils se sont reconnus. Ce qui les a amenés à prendre rdv avec une certaine confiance.
La mise en ligne du site a très bien fonctionné : dès les premières semaines les nouveaux appels se sont multipliés et j’ai doublé le nombre de mes consultations en l’espace de 3 mois ! Stupéfiant, je ne m’attendais pas à un tel effet.
Un an plus tard, j’avais atteint mon objectif
Grâce à l’application de la Loi de l’Attraction, j’étais passée d’un revenu mensuel d’environ 1100 euros à 2500 euros.
Sans déplacer des montagnes, sans faire de grandes choses.
Simplement en imaginant régulièrement que de l’argent arrivait sur mon compte, tout seul, de façon magique. En ressentant intérieurement et par anticipation le bien-être que cela me procurerait.
En fait j’activais régulièrement en faisant cela l’idée que c’était possible. Dans mon imaginaire, j’ouvrais des portes…
Et j’ai découvert que cet exercice procure une énergie positive considérable.
C’est cette énergie qui permet de chercher des nouvelles idées, simples et à portée de main, mais qui sont tapies dans l’ombre à l’instant présent. Et de faire le petit effort nécessaire pour les tenter. Sortir du familier et essayer quelque chose de nouveau.
Ces petites choses ont eu pour moi de grands effets.
D’abord, l’immense joie de constater que je pouvais diriger le cours de ma vie. Que je pouvais créer de l’abondance là où il y avait du manque et de la frustration.
Ensuite, la satisfaction tout aussi grande de voir mon cabinet se développer. Car c’est très gratifiant d’avoir des personnes qui vous appellent en vous disant qu’elles ont vu votre site et qu’elles se sont reconnues dans ce qui était décrit. Et qu’elles vous appellent avec l’espoir qu’un travail ensemble leur apportera les réponses qu’elles cherchent depuis un certain temps.
C’était pour moi une nouvelle vie qui commençait.
Un nouveau souffle !
Cette année-là, le test a été réussi. J’ai découvert que la Loi de l’Attraction était un vrai et incroyable outil de développement personnel qui n’est pas enseigné à l’Université en France 🙂 et qui m’a ouvert les portes d’un courant plus vaste qu’est la pensée positive sur lequel j’aurai l’occasion de revenir.
En un an j’ai atteint mon objectif et doublé mes revenus, simplement avec mes propres ressources et ma croyance, très faible au départ, que c’était possible.
Si j’ai réussi, tout le monde peut le faire.
D’ailleurs, Aude vous racontera dans un prochain article, comment de son côté elle a appliqué cette même méthode à ses propres objectifs, et les résultats qu’elle a obtenus.
Alors voici quelques questions que je vous propose de vous poser :
- Et vous, qu’est-ce qui vous frustre le plus aujourd’hui, qu’aimeriez-vous changer dans votre vie ?
- Quels sont vos rêves ?
- Pensez-vous que vous aussi vous pouvez les réaliser ?
Laissez vos réponses dans les commentaires ci-dessous…